Le vice-ministre iranien des Affaires étrangères chargé des affaires juridiques et internationales, Reza Najafi, lors de la réunion de l'Assemblée générale des Nations Unies, concernant l’élimination des mesures économiques coercitives unilatérales et extraterritoriales utilisées pour exercer une pression politique et économique, jeudi soir, a souligné les effets négatifs des sanctions illégales sur les droits de l’homme, ajoutant que « La communauté internationale doit condamner et rejeter les mesures économiques coercitives unilatérales. »
Notant qu'en termes juridiques, l'imposition de sanctions unilatérales constitue une violation flagrante des objectifs et des principes des Nations Unies, Najafi a indiqué que « Malgré ce que prétendent les pays occidentaux, il n’existe pas de soi-disant « exemption humanitaire » aux sanctions. »
« Ce terme faux et hypocrite a été créé par les États-Unis et d’autres pays occidentaux dans le seul but de cacher la nature inhumaine de leurs sanctions et n’est rien d’autre qu’un mensonge et une tromperie » a-t-il indiqué.
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